L’approche personnalisée de nos podiatres permet l’obtention de résultats convaincants grâce à une évaluation et à un suivi de traitement minutieux.
La capacité d’écoute, la précision du diagnostic et le choix du type d’approche employée (selon la cause du problème) sont les éléments privilégiés pour contribuer à l’amélioration du bien-être et la réhabilitation des patients dans leurs mouvements ainsi que des douleurs. À la Clinique Podiatrique DIX30.
Nous sommes situés dans le SQUARE, à La Clinique DIX30, au-dessus du Jean Coutu, tout près du magasin Apple et du Walmart. Nos bureaux sont situés dans la Clinique Santé DIX30, au 5e étage de l’édifice. Un stationnement souterrain chauffé et gratuit est à la disposition des clients. 1100 Rue du Lux #520, Brossard, QC J4Y 0E2
Non, le podiatre est un professionnel de la santé de première ligne. Vous pouvez prendre un rendez-vous directement à la clinique. Si toutefois un médecin vous a référé, apportez-nous la référence, elle contient des informations précieuses qui seront utiles à votre podiatre.
Sauf exemption pour les programmes de soins de plaies spécialisés, les frais de consultation podiatrique ne sont pas remboursés par la RAMQ.
Les frais liés aux soins en podiatrie sont souvent couverts par les compagnies d’assurance. Toutefois, renseignez-vous auprès de votre assureur avant de prendre rendez-vous avec le podiatre, puisque les couvertures varient d’une compagnie à l’autre.
Le podiatre possède une formation universitaire, soit un doctorat de premier cycle en médecine podiatrique (DPM). Les études en médecine podiatrique se comparent à celles du dentiste. Le programme comprend une formation générale sur la santé humaine (anatomie, pharmacologie, biochimie, physiologie, histologie, microbiologie, médecine interne, psychologie et autres), des cours spécialisés en médecine podiatrique ainsi qu’un externat de 2 ans.
Le podiatre est un professionnel de la santé habilité à diagnostiquer et à traiter les conditions relatives au pied. Il possède une formation universitaire, soit un doctorat de premier cycle en médecine podiatrique. Certains podiatres détiennent également une résidence en chirurgie podiatrique.
L’orthopédiste est un médecin détenant un doctorat de premier cycle en médecine générale, ainsi qu’une résidence en chirurgie orthopédique. Il prodigue des soins médicaux et chirurgicaux qui traitent les os, les articulations, les ligaments, les muscles, les tendons et les nerfs.
Représenté par l’Association des infirmières et des infirmiers en soins podologiques du Québec, l’infirmier(ère) en soins podologiques est un(e) infirmier(ère) ou un(e) infirmière auxiliaire qui détient une formation de 160 heures en soins des pieds. L’infirmier(ère) en soins podologiques ne peut pas traiter de pathologie sans avoir obtenu au préalable un diagnostic d’un podiatre ou d’un médecin. Il(Elle) ne peut pas prescrire de médicaments, à l’exception des médicaments en vente libre. La différence entre l’infirmier(ère) et l’infirmière auxiliaire est que cette dernière doit obtenir une ordonnance du médecin ou du podiatre ou un plan de traitement infirmier pour pouvoir prodiguer des soins de pieds. Plusieurs infirmiers(ères) en soins podologiques travaillent en clinique, auprès de podiatres. Il faut aussi savoir qu’un(e) infirmier(ère) ne peut pas faire de diagnostic.
L’orthésiste a suivi une formation collégiale. Considéré davantage comme un technicien, il fabrique et ajuste les orthèses et prothèses selon l’ordonnance du podiatre (dans le cas des orthèses plantaires) ou du médecin. L’orthésiste ne peut pas vous évaluer, sauf dans le cas de l’ajustement de l’orthèse prescrite.
Il peut néanmoins, à la suite d’une ordonnance, contribuer à l’évaluation d’un patient sous immobilisation dans le cadre du suivi de sa condition. L’orthésiste peut également ajuster ou réparer des orthèses sans ordonnance lorsqu’il s’agit d’adapter une orthèse ou d’en prolonger l’utilisation lorsque l’état physique de la personne n’a pas changé et si les ajustements ou réparations ne modifient pas l’ordonnance originale.
Le pédicure et l’hygiéniste en soins des pieds ont reçu une formation axée sur la beauté du corps et l’esthétisme. Certaines écoles offrant ces formations ne sont pas reconnues par les commissions scolaires ou le ministère. Ces formations donnent faussement l’impression qu’elles permettent de prodiguer des soins des pieds. Cette pratique consiste en un exercice illégal de la podiatrie. Légalement, le pédicure et l’hygiéniste en soins des pieds ne peuvent ni diagnostiquer, ni traiter de condition.
Le podologue a reçu une formation qui, au Québec, n’est pas reconnue par la Loi sur la podiatrie et qui n’équivaut pas à celle d’un podiatre. En ce sens, le podologue n’est pas membre de l’Ordre des podiatres du Québec et n’est pas considéré comme un professionnel au sens de la Loi. Ainsi, lorsqu’il effectue des actes réservés aux podiatres, ces actes consistent en un exercice illégal de la podiatrie
Reçu pour assureur, lorsqu’il s’agit de rembourser les frais pour les soins prodigués à vos pieds, il est important de savoir que l’assureur exigera qu’ils soient exécutés par un podiatre. Toute autre personne qui donne des soins de pieds ne peut qu’émettre des reçus de naturopathie. Si vous présentez de tels reçus à votre assureur, vous courez le risque de voir votre demande de remboursement refusée.
L’orthésiste est tenu de fabriquer une orthèse conforme aux directives indiquées sur l’ordonnance du podiatre. Par contre, il n’est pas habilité à corriger lui-même un problème de pied, puisque, contrairement au podiatre et au médecin, il n’est pas autorisé à poser un diagnostic ou à modifier mécaniquement la position du pied. Ainsi, plus la prescription est précise, plus l’orthésiste peut fabriquer une orthèse répondant aux besoins du patient. L’orthésiste peut uniquement évaluer l’ajustement d’une orthèse, pourvu qu’un podiatre ou un médecin lui en donne l’ordonnance. L’orthésiste peut cependant ajuster ou réparer des orthèses sans ordonnance lorsqu’il s’agit d’adapter une orthèse ou d’en prolonger l’utilisation lorsque l’état physique de la personne n’a pas changé et si les ajustements ou réparations ne modifient pas l’ordonnance originale.
De plus, l’orthésiste ne peut pas évaluer la condition du patient. Il peut néanmoins, à la suite d’une ordonnance, contribuer à l’évaluation d’un patient sous immobilisation dans le cadre du suivi de sa condition.
Appelez-nous, nous serons heureux de voir avec vous les options possibles. En cas d’urgence majeure, présentez-vous à l’urgence ou composez le 911.